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Une lecture douce-amère, sans une goutte d'alcool


Profiter du dimanche après-midi et du soleil pour lire dehors. Aujourd’hui, c’est le recueil de nouvelles d’Alice Rivaz, « Sans alcool », qui m’a tenté. Je lis l’édition de 1961, empruntée à la bibliothèque, mais les Editions Zoé l’ont republié en format poche.

Quatrième de couverture

Dans une langue sobre et sans emphase, ces histoires de couples, d’hommes et de femmes déploient la fresque des relations humaines, régies par les inégalités : que ce soit dans les rapports de genre ou de classe, les mots ici sont puissants, capables de faire naître l’espoir comme de le briser.

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